Le mode de vie actuel imposé par la concentration urbaine, l’industrialisation influe sur l’état de santé des populations. Il engendre des contraintes (psychiques, physiques) qui demande en permanence à l’Homme de s’adapter : on parle de stress (maladie des temps modernes).
Selon e Dr Herbert Benson du Mind/Body Medical Institue de l’université Harvard, environ 80% des consultations médicales seraient liées au stress d’une manière ou d’une autre. De même que 60% à 80% des accidents de travail, selon l’American Institue of stress (www.passeportsante.net)
Le stress vient du latin stringer et stressus qui signifie serré. En vieux français il signifie étroitesse et oppression (www.unisson06.org/dossiers/relation_aide/stresshtm).
Il se définie comme étant le syndrome général d’adaptation pour l’endocrinien Hans Selye (1936). C’est une réponse non spécifique del’organisme à toute sollicitation.
En fonction des personnalités il se manifeste différemment. Il ne dépend pas de l’intensité des stimuli mais de la manière dont ils sont perçus et reçus par l’individu (www.stress.eu.com).
Ces manifestations peuvent être d’ordre :
- Physiques (tensions musculaires, problèmes digestifs, problèmes de sommeil ou d’appétit, maux de tête, vertiges, fatigue…)
- Émotionnelles et mentales (agitation, irritation, indécision, inquiétude, anxiété, mélancolie, baisse de la libido, difficulté à se concentrer, faible estime de soi…)
- Comportementales (perception négative de la réalité, désorganisation, difficulté dans les relations, absentéisme, isolement, augmentation de diverses addictions comme le sucre, le tabac, l’alcool…)
Il est à noter qu’il existe le bon stress : eustress (celui qui fait monter l’adrénaline juste ce qu’il faut pour nous permettre d’être performant et aller de l’avant) ; et le mauvais stress : distress (c’est celui qui dure dans le temps, il nous rend contre performant, et finit par avoir des répercussions sur notre vécu).
Ainsi, un stress prolongé peut être à l’origine de maladies somatiques ou psychiques. « Mal maîtrisé, le stress peut être néfaste pour la santé et conduire à la dépression » (doctissimo.fr), l’épuisement, le surmenage, le burnout…
D’où l’importance d’apprendre à gérer son stress. En cela l’adoption de quelques gestes simples comme essayer d’avoir une qualité de vie optimum (sommeil, alimentation, pratique d’une activité physique, travail sur la respiration) ou encore avoir un comportement mental positif peuvent nous aider en ce sens.
Mais parfois, cela ne suffit pas ou plus et il faut avoir recourt à une tierce personne qualifiée dans la gestion du stress.
« On peut lutter contre le stress avec l’allopathie (les médicaments), le nutritionnisme (les oligo-éléments permettent de réduire le cortisol hormone du stress), la phytothérapie, l’homéopathie… »[1]
De plus en plus les médecines douces ont le vent en poupe comme solutions naturelles pour lutter contre le stress. Pour ne citer que quelques-unes, on a les thérapies psychologiques (analytiques, cognitives et comportementales, hypnose), relaxation/méditation, techniques de bien-être (sophrologie, méditation, arts thérapies…), l’ostéopathie, l’acupuncture ou encore les stimulations réflexes : la réflexologie…
La réflexologie qui grâce à la stimulation de zones o points réflexes bien précis va permettre séance après séance une régulation de l’homéostasie du corps grâce à l’amélioration de l’information neuro-hormonale.
Cette régulation neuro-hormonale va avoir une incidence sur la libération du cortisol hormone du stress naturellement fabriquée par les glandes corticosurrénales situées au-dessus des reins (www.soniafischmann.com )
Ainsi, un meilleur dosage du cortisol va avoir des effets sur notre fonctionnement physiologique et psychologique global. Entre autre une meilleure régulation du métabolisme des graisses, des protéines et glucides ; une meilleure régulation du cycle circadien (qualité du sommeil) ; ou encore une meilleure réponse immunitaire de notre organisme face aux différentes agressions.
De la même manière, le retour progressif du cortisol à un taux normal (A 8 h du matin, le taux normal de cortisol est compris entre 50 à 200 ng/mL. Le soir, sa valeur correspond à la moitié de celle du matin : http://sante.lefigaro.fr/sante/analyse/cortisol/quels-sont-resultats-cortisol) va permettre de réduire les risques de survenus de certaines pathologies comme le syndrome de Cushing…
Aussi, quelle que soit le choix de votre méthode pour lutter contre le stress, garder à l’esprit qu’il faut qu’elle fasse écho en vous, que vous vous y reconnaissez, que vous vous y investissez afin d’en tirer le meilleur profit
Réflexes Santé Bien-Etre
Prenez soin de vous
[1] Extrait de cours Les stimulations Réflexes : Etude du Stress par Sonia FISCHMANN
Le mode de vie actuel imposé par la concentration urbaine, l’industrialisation influe sur l’état de santé des populations. Il engendre des contraintes (psychiques, physiques) qui demande en permanence à l’Homme de s’adapter : on parle de stress (maladie des temps modernes).
Selon e Dr Herbert Benson du Mind/Body Medical Institue de l’université Harvard, environ 80% des consultations médicales seraient liées au stress d’une manière ou d’une autre. De même que 60% à 80% des accidents de travail, selon l’American Institue of stress (www.passeportsante.net)
Le stress vient du latin stringer et stressus qui signifie serré. En vieux français il signifie étroitesse et oppression (www.unisson06.org/dossiers/relation_aide/stresshtm).
Il se définie comme étant le syndrome général d’adaptation pour l’endocrinien Hans Selye (1936). C’est une réponse non spécifique del’organisme à toute sollicitation.
En fonction des personnalités il se manifeste différemment. Il ne dépend pas de l’intensité des stimuli mais de la manière dont ils sont perçus et reçus par l’individu (www.stress.eu.com).
Ces manifestations peuvent être d’ordre :
Il est à noter qu’il existe le bon stress : eustress (celui qui fait monter l’adrénaline juste ce qu’il faut pour nous permettre d’être performant et aller de l’avant) ; et le mauvais stress : distress (c’est celui qui dure dans le temps, il nous rend contre performant, et finit par avoir des répercussions sur notre vécu).
Ainsi, un stress prolongé peut être à l’origine de maladies somatiques ou psychiques. « Mal maîtrisé, le stress peut être néfaste pour la santé et conduire à la dépression » (doctissimo.fr), l’épuisement, le surmenage, le burnout…
D’où l’importance d’apprendre à gérer son stress. En cela l’adoption de quelques gestes simples comme essayer d’avoir une qualité de vie optimum (sommeil, alimentation, pratique d’une activité physique, travail sur la respiration) ou encore avoir un comportement mental positif peuvent nous aider en ce sens.
Mais parfois, cela ne suffit pas ou plus et il faut avoir recourt à une tierce personne qualifiée dans la gestion du stress.
« On peut lutter contre le stress avec l’allopathie (les médicaments), le nutritionnisme (les oligo-éléments permettent de réduire le cortisol hormone du stress), la phytothérapie, l’homéopathie… »[1]
De plus en plus les médecines douces ont le vent en poupe comme solutions naturelles pour lutter contre le stress. Pour ne citer que quelques-unes, on a les thérapies psychologiques (analytiques, cognitives et comportementales, hypnose), relaxation/méditation, techniques de bien-être (sophrologie, méditation, arts thérapies…), l’ostéopathie, l’acupuncture ou encore les stimulations réflexes : la réflexologie…
La réflexologie qui grâce à la stimulation de zones o points réflexes bien précis va permettre séance après séance une régulation de l’homéostasie du corps grâce à l’amélioration de l’information neuro-hormonale.
Cette régulation neuro-hormonale va avoir une incidence sur la libération du cortisol hormone du stress naturellement fabriquée par les glandes corticosurrénales situées au-dessus des reins (www.soniafischmann.com )
Ainsi, un meilleur dosage du cortisol va avoir des effets sur notre fonctionnement physiologique et psychologique global. Entre autre une meilleure régulation du métabolisme des graisses, des protéines et glucides ; une meilleure régulation du cycle circadien (qualité du sommeil) ; ou encore une meilleure réponse immunitaire de notre organisme face aux différentes agressions.
De la même manière, le retour progressif du cortisol à un taux normal (A 8 h du matin, le taux normal de cortisol est compris entre 50 à 200 ng/mL. Le soir, sa valeur correspond à la moitié de celle du matin : http://sante.lefigaro.fr/sante/analyse/cortisol/quels-sont-resultats-cortisol) va permettre de réduire les risques de survenus de certaines pathologies comme le syndrome de Cushing…
Aussi, quelle que soit le choix de votre méthode pour lutter contre le stress, garder à l’esprit qu’il faut qu’elle fasse écho en vous, que vous vous y reconnaissez, que vous vous y investissez afin d’en tirer le meilleur profit
Réflexes Santé Bien-Etre
Prenez soin de vous
[1] Extrait de cours Les stimulations Réflexes : Etude du Stress par Sonia FISCHMANN