« La migraine est un mal de tête d’intensité variable, récurrent, le plus souvent unilatéral et pulsatile. Elle peut être accompagnée de signes digestifs ou neurologiques varié » (www.ameli-sante.fr/migraine.htlm).
« Classée par l’OMS au 20ème rang des maladies ayant un impact sur le handicap et l’altération de la qualité de vie, et parmi les 10 1ères maladies si l’on considère uniquement la population féminine » (fr.wikipedia.org/wiki/Migraine) c’est une maladie qui toucherait plus de 7 millions de français et 12,5% de la population adulte.
La migraine se manifeste par des crises pouvant aller de quelques heures à quelques jours avec des fréquences très variables (plusieurs crises par semaine ou une par an) en fonction des individus. « Dans 58% des cas, la migraine est déclenchée dans un contexte de fatigue ou un manque de sommeil ; dans 34% des cas elle peut être déclenchée par le stress ; et dans 26% des cas par la consommation de certains alcools ou aliments (www.doctissimo.fr/html/sante/mag_2001/mag0608/sa_4163_migraine.htm).
Ce qu’il faut savoir, c’est que d’un point de vue physiologique, la migraine est liée à un déséquilibre des nerfs et des vaisseaux du crâne s’accompagnant d’une inflammation. La stimulation du nerf trijumeau (nerf crânien V) va provoquer la dilatation de nombreux vaisseaux sanguins à l’intérieur du crâne s’accompagnant d’une inflammation responsable de la douleur.
Quel que soit le type de migraines dont vous souffrez : migraines ophtalmiques (maux de tête d’intensité plus ou moins importante accompagnés d’impressions visuelles), migraines cervicales (liées à des tensions musculaires ciblées au niveau des cervicales), migraines digestives (« forme rare de migraines associée à l’alimentation qui survient juste après les repas ou pendant la digestion qui peut être provoquée par l’ingestion d’alcool, un repas particulièrement copieux, une intolérance au gluten ou à la caséine » (sante.medecine.commentcamarche.net/faq/39329-migraine-digestive-definition) ; ou encore les migraines cataméniales (migraines menstruelles liées à une fluctuation des hormones principalement les taux d’œstrogènes surviennent au moment des règles et dans les deux jours les précédant voir jusqu’à trois jours après leurs début), il est important de consulter le médecin afin d’établir un diagnostic.
Ce n’est qu’à partir de ce moment qu’un traitement efficace pourra être proposé.
Bien qu’il y ait souvent prescription de médicament types antidouleurs classiques (doliprane, nurofen), des prophylactiques (bêtabloquants, topiramate, toxine botulique) ou encore des triptans, il est tout de même fortement conseillé de jouer sur la prévention.
Effectivement, le fait d’améliorer la qualité de vie (hygiène alimentaire, pratique d’une activité physique, réduction du stress) va permettre de diminuer les symptômes de la migraine. En ce sens, de nombreuses méthodes de gestion du stress ainsi que la réflexothérapie ont prouvé leur efficacité.
La réflexothérapie en plus de vous apporter un bien-être va permettre de mieux gérer la perception de la douleur ressentie grâce à la stimulation des zones réflexes du système nerveux central et périphérique.
Une stimulation du terrain sera effectuée afin de réduire progressivement les symptômes liés à votre migraine (régulation réflexe du système endocrinien, digestif, locomoteur et lymphatique)
N’hésitez plus, réagissez, ne laissez plus la migraine régir votre vie…
Prenez soin de vous
Soulager les migraines grâce à la réflexothérapie
« Classée par l’OMS au 20ème rang des maladies ayant un impact sur le handicap et l’altération de la qualité de vie, et parmi les 10 1ères maladies si l’on considère uniquement la population féminine » (fr.wikipedia.org/wiki/Migraine) c’est une maladie qui toucherait plus de 7 millions de français et 12,5% de la population adulte.
La migraine se manifeste par des crises pouvant aller de quelques heures à quelques jours avec des fréquences très variables (plusieurs crises par semaine ou une par an) en fonction des individus. « Dans 58% des cas, la migraine est déclenchée dans un contexte de fatigue ou un manque de sommeil ; dans 34% des cas elle peut être déclenchée par le stress ; et dans 26% des cas par la consommation de certains alcools ou aliments (www.doctissimo.fr/html/sante/mag_2001/mag0608/sa_4163_migraine.htm).
Ce qu’il faut savoir, c’est que d’un point de vue physiologique, la migraine est liée à un déséquilibre des nerfs et des vaisseaux du crâne s’accompagnant d’une inflammation. La stimulation du nerf trijumeau (nerf crânien V) va provoquer la dilatation de nombreux vaisseaux sanguins à l’intérieur du crâne s’accompagnant d’une inflammation responsable de la douleur.
Quel que soit le type de migraines dont vous souffrez : migraines ophtalmiques (maux de tête d’intensité plus ou moins importante accompagnés d’impressions visuelles), migraines cervicales (liées à des tensions musculaires ciblées au niveau des cervicales), migraines digestives (« forme rare de migraines associée à l’alimentation qui survient juste après les repas ou pendant la digestion qui peut être provoquée par l’ingestion d’alcool, un repas particulièrement copieux, une intolérance au gluten ou à la caséine » (sante.medecine.commentcamarche.net/faq/39329-migraine-digestive-definition) ; ou encore les migraines cataméniales (migraines menstruelles liées à une fluctuation des hormones principalement les taux d’œstrogènes surviennent au moment des règles et dans les deux jours les précédant voir jusqu’à trois jours après leurs début), il est important de consulter le médecin afin d’établir un diagnostic.
Ce n’est qu’à partir de ce moment qu’un traitement efficace pourra être proposé.
Bien qu’il y ait souvent prescription de médicament types antidouleurs classiques (doliprane, nurofen), des prophylactiques (bêtabloquants, topiramate, toxine botulique) ou encore des triptans, il est tout de même fortement conseillé de jouer sur la prévention.
Effectivement, le fait d’améliorer la qualité de vie (hygiène alimentaire, pratique d’une activité physique, réduction du stress) va permettre de diminuer les symptômes de la migraine. En ce sens, de nombreuses méthodes de gestion du stress ainsi que la réflexothérapie ont prouvé leur efficacité.
La réflexothérapie en plus de vous apporter un bien-être va permettre de mieux gérer la perception de la douleur ressentie grâce à la stimulation des zones réflexes du système nerveux central et périphérique.
Une stimulation du terrain sera effectuée afin de réduire progressivement les symptômes liés à votre migraine (régulation réflexe du système endocrinien, digestif, locomoteur et lymphatique)
N’hésitez plus, réagissez, ne laissez plus la migraine régir votre vie…
Prenez soin de vous